A TRANSFORMATION SCHEME
Users of computer networks may have experienced that some connections only transfer data coded with 7 bits, and that the information contained in bit 8 get lost. This means that many of the characters coded with ISO/IEC 8859 cannot be transmitted over these connections. Several transformation schemes have been invented to pass by this barrier (like uuencode), but most require that a decyphering method is available to the recipient, which is not always the case. The following describes a simple method to transform accented letters and other characters from the Latin alphabets from ISO/IEC 8859 to characters from ASCII (ISO/IEC 646 IRV) which are available for transfer on all networks, even if the coding is a variant of EBCDIC. The transformed text may be typed in directly, or may be produced by a program (which may be supplied by the author) from one coded with ISO/IEC 8859. In the same way decoding to a Latin alphabet (also one from EBCDIC) may be performed. But even without decoding the transformed text is always readable when the rules are understood.
Notation
For denotating accented letters and others not in the 26 Latin letter
basic alphabet the following rules apply. Any such letter is written as
a one basic letter preceded by one special character, chosen as:
/ | ACUTE |
\ | GRAVE |
> | CIRCUMFLEX |
% | DIAERESIS |
~ | TILDE |
* | CARON |
# | BREVE |
+ | DOUBLE ACUTE |
@ | RING ABOVE or DOT ABOVE and DOTLESS I |
= | MACRON or STROKE (but this not on O) |
$ | CEDILLA or OGONEK and O WITH STROKE (Danish etc.) |
& | LIGATURE or special form (AE OE ETH THORN ENG SHARP S) |
If any of these specials occur in a text, these must be replaced by two of that same character. Thus / is replaced by //, and % by %%. In cases of doubt the first column of tables 1 and 2 of Annex 7 may be consulted for the transformed version. As an example a text in French is presented, with its transformed version.
ORIGINAL
C'est en 1897 qu' Ernest Chausson conçoit son quartet avec piano. Sa réalisation prompte et aisée s'accomplit durant l'été en Savoie. Est-ce que ce sont le climat et le site qui l'entraînent à écrire cette ÷uvre baignée de lumière, «presque folâtre» (le terme est de lui)?
Composée en 1936, exécutée pour la première fois au cours du Festival de Venise de 1937, la musique de la Suite Provençale s'affirme, au c÷ur de l' ÷uvre immense de Darius Milhaud, comme l'une de ses réussites les plus accomplies. C'est Aix, sa ville natale et si tendrement aimée, avec ses hôtels historiques, son cours Mirabeau, ses fontaines dont l'eau ruisselle en jasant sous la fraiche voûte des platanes, tandis qu'au-delà des champs de vignes et sombres haies de cyprès, la courbe nette de la Sainte Victoire s'érige dans le bleu d'un ciel nimbé de grise vapeur que Cézanne a si bien fixé avec un amour égal à son souci de la plus stricte vérité.
Poulenc avait sa propre manière de concevoir son art; il tenait par-dessus tout à rester sensible à la musique intérieure qui jaillissait en lui. Que cette musique fût d'inspiration profane ou sacrée, qu'elle vînt des guingettes de Nogent ou des salons aristocratiques, qu'elle reflétât son côté «mauvais garçon casquette sur l'oreille» ou son côté paysan aveyronnais naïf et croyant, elle exprimait tout entier, elle était si bien Poulenc que dès les premières mesures on la reconnaissait pour telle.
Tout de même, où sont Camille Saint-Saëns, Léon Boëlmann, Henri Båsser, Eugène Ysaÿe?
TRANSFORMED
C'est en 1897 qu' Ernest Chausson con$coit son quartet avec piano. Sa r/ealisation prompte et ais/ee s'accomplit durant l'/et/e en Savoie. Est-ce que ce sont le climat et le site qui l'entra>inent \a /ecrire cette &ouvre baign/ee de lumi\ere, *<presque fol>atre*> (le terme est de lui)?
Compos/ee en 1936, ex/ecut/ee pour la premi\ere fois au cours du Festival de Venise de 1937, la musique de la Suite Proven$cale s'affirme, au c&our de l' &ouvre immense de Darius Milhaud, comme l'une de ses r/eussites les plus accomplies. C'est Aix, sa ville natale et si tendrement aim/ee, avec ses h>otels historiques, son cours Mirabeau, ses fontaines dont l'eau ruisselle en jasant sous la fraiche vo>ute des platanes, tandis qu'au-del\a des champs de vignes et sombres haies de cypr\es, la courbe nette de la Sainte Victoire s'/erige dans le bleu d'un ciel nimb/e de grise vapeur que C/ezanne a si bien fix/e avec un amour /egal \a son souci de la plus stricte v/erit/e.
Poulenc avait sa propre mani\ere de concevoir son art; il tenait par-dessus tout \a rester sensible \a la musique int/erieure qui jaillissait en lui. Que cette musique f>ut d'inspiration profane ou sacr/ee, qu'elle v>int des guingettes de Nogent ou des salons aristocratiques, qu'elle refl/et>at son c>ot/e *<mauvais gar$con casquette sur l'oreille*> ou son c>ot/e paysan aveyronnais na%if et croyant, elle exprimait tout entier, elle /etait si bien Poulenc que d\es les premi\eres mesures on la reconnaissait pour telle.
Tout de m>eme, o\u sont Camille Saint-Sa%ens, L/eon Bo%elmann, Henri
B%usser, Eug\ene Ysa%ye?